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Affichage des articles correspondant à la recherche du terme participation

Le travail en équipe en question ?

Blogue du RAEQ - Les aléas du travail en équipe Voilà un article particulièrement intéressant que résonne avec le travail que j'ai réalisé en 2003 sur les réseaux apprenants : je suis entièrement d'accord avec François Guité lorsqu'il fait remarquer "dans la ‘culture de réseau’, le problème n’en est pas un de réseau, mais de culture"...ce qui pose la problème du travail en équipe sous l'angle dans d'un changement majeur de paradigme et non pas seulement l'acquisition d'un savoir-faire technologique ! Mais, il me semble que de ce point de vue, la globalisation des pratiques et usages type Web 2.0 en particulier chez les digitales natives ne peut que faire bouger les choses dans ce sens, et en particulier auprès des enseignants ! J'aime bien aussi cette idée : "la coopération n’est possible que dans l’acceptation des différences et dans le soutien de la participation individuelle, plutôt que dans la contrainte."...je suis moi aussi

Web 2.0 : Au diable l'incrémentation marketing, vive le 2.0 durable !

En discutant aujourd'hui avec Olivier et Sylvain du réseau Apprendre 2.0 , nous en sommes arrivés à la conclusion que : Le web 2.0 n’a jamais été pour nous une mode à suivre mais la concrétisation de profondes convictions : la participation active des internautes, la co-construction, le partage, le co-apprentissage...etc... en sont des valeurs fortes ! Ce 2.0 est aussi le symbole d’un changement majeur de paradigme, un positionnement méta qui invite, entre autre, à apprendre à apprendre dans le domaine de la formation et de l’éducation…je m’en suis expliquée à de nombreuses reprises !...Selon la classification de Watzlawick, ce positionnement s’inscrit dans des changements de type 2 ! Les experts en marketing web nous prédisent l’avènement du web 3, 4, 5 : grand bien leur fasse… cette course effrénée à l’incrémentation n’est pas le but qui nous anime : l’accompagnement du changement est affaire de relations humaines qui s’inscrivent dans le temps…Le 2.0 sera donc pour nous une ap

Poïésis de l'ontologie sémantique évolutive ?

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Je viens de découvrir cette illustration du travail de Pierre Levy Source originale :  https://www.oreilly.com/library/view/the-semantic-sphere/9781118601518/18_chapter12.html Et je me rends compte que cela résonne énormément avec une vision qui avait émergé pour moi en mars 2010 (suite à une discussion avec jp pastor sur Twitter) Une sorte d'attracteur étrange, dirait-on, qui illustre l'ontologie du devenir déclinée sur le design technologique des réseaux/silos ! :-) Questions : En quoi les algorithmes, codes et design influencent-ils (ou pas) les folksonomies ? En quoi le niveau réflexif et surtout méta-réflexif peut-il permettre (ou pas) de s'en extraire et s'en "dé-formater" ? Quelles limites éthiques à poser en miroir de celles évoquées par Miguel Benassayag pour l'ontologie du devenir ! MAJ : Olivier Auber enrichit encore la réflexion en twittant que la temporalité propre du système est T=Log(U/C) :-) ... si c'est pas de

Coopération/Collaboration : quelques points de repère ! (suite)

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A la fois très proches et pourtant différentes, ces deux approches renvoient à des processus d’action collectives qui nous sont de plus en plus familiers…et pourtant ils donnent souvent matière à conflits et à incompréhensions de la part des acteurs … J’ai dans l’idée que la raison principale des tensions est surtout liée à une méconnaissance globale des dimensions mises en œuvre ! Ce billet ne prétend pas résoudre les tensions qui peuvent naitre ici et là au sein des collectifs : juste donner des points de repères (qui ne que sont que les miens : on est OK ! :-) ) pour, peut-être, y réfléchir ensemble ! Il y a quelques temps sur ce blog j’avais cité en référence un texte qui mettait en lumière les deux approches…A la relecture, je me dis que l’auteur de l’article a très nettement situé sa préférence avec un jugement de valeur orienté en faveur du travail collaboratif : je n’ai rien contre mais ça parasite un peu la réflexion puisque en découle une vision assez négative de l’a

Penser l'ontologie du devenir

Quelques points de repères que je partage avec vous ! A découvrir : les podcast dédiés à la philosophie du collège de France et notamment les cours de Anne Fagot Largeault J’ai retenu : Le devenir impensable : un problème aussi vieux que la philosophie (19-02-2007) Solutions philosophiques pour échapper au mobilisme, dans la tradition occidentale On stabilise une réalité sensible fuyante et dispersée, ou bien en s'élevant du sensible à l'intelligible (la matière change, les formes demeurent: ex. ‘lois’ de la nature), ou bien en réduisant le changement à des assemblages et réarrangements d'éléments matériels eux-mêmes inaltérables (les formes changent, la matière demeure: ex. atomes). Troisième voie_: poser que l'espace-temps est une caractéristique de l'appareil cognitif du sujet connaissant, et non pas des objets de la connaissance. Alquié argumente qu'il faut ‘tourner le dos à l'éternel’ comme on tourne le dos à l'enfance, et accepter la

Metadesign selon Yann Le Guennec

Yann Le Guennec » Le metadesign, ou comment l’expérience doit échapper au designer. : Passionnants articles Je retiens et partage ce point : "Le metadesign caractérise les objectifs, les techniques et les processus pour créer de nouveaux moyens d’expression et des environnements qui permettent aux possesseurs d’un problème d’agir en designers.2 Quelle place occupe alors le designer dans cette action de metaconception collective et quel peut-être son rôle ? Le rôle du designer peut justement résider dans le fait de permettre et favoriser l’émergence du dispositif de metaconception. En tant qu’expert de la créativité, impliqué dans un projet pour ses qualités supposées de créateur et de concepteur de nouveauté, le designer est le mieux placé pour redistribuer ses propres qualités, à condition de s’effacer pour laisser apparaître la créativité et les intentions de l’ensemble des acteurs du système. En cessant de concentrer sur lui et en lui les qualités attendues dans l’évolu

Quels bénéfices retirer de l'utilisation des réseaux sociaux ?

eLearning 2.0 Technologies and Concepts: How do social networks benefit us? A lire cet intéressant article de Malinka Ivanova ! Voici une synthèse en français des 15 points qu'elle retient : 1 - Développer une nouvelle culture de participation à la vie sociale 2 - Mondialiser la réflexion au travers des réseaux en ligne et accélérer le processus de mondialisation (y compris dans l'éducation et la recherche) 3 - Opérer un déplacement de la pensée individuelle vers la pensée collective - de l'échange de connaissances à la connaissance collective 4 - Réseauter avec les membres, les professionnels et experts - rassembler les amis et être connecté indépendemment des différents lieux, différentes heures zone, les différentes spécialisations de vos amis, les différentes organisations de travail 5 - Développer les contacts professionnels et privés - inviter d'autres personnes à rejoindre le site de réseaux sociaux 6 - Créer des communautés - La mémoire de la communau