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Affichage des articles associés au libellé relativité

Connaître selon Francisco Varela

Une vision qui me passionne toujours autant : je la partage avec vous ! :-)

Cerveau bayésien - Approche méthodologique Bayesienne - Web

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Le cerveau bayésien - Le blog d’Automates Intelligents - Blog LeMonde.fr : Intéressant ce parallèle entre le traitement probabiliste des informations visant à minimiser l'erreur de perception dans le cerveau et une approche différente de la méthode scientifique "Le cerveau bayésien est conçu comme une machine probabiliste qui fait constamment des prédictions sur le monde et les actualise en fonction de ce qu’il perçoit. En 1983, le chercheur canadien Geoffrey Hinton avait suggéré que le cerveau prenait des décisions basées sur les incertitudes du monde extérieur. Ultérieurement d’autres chercheurs avaient envisagé la possibilité que le cerveau puisse représenter ses connaissances sur le monde en terme de probabilités. Une distance dans l’espace, ainsi, ne serait pas estimée par un nombre unique mais par une série de valeurs dont certaines apparaissent plus probables que les autres. L’expérimentation, c’est-à-dire les nouveaux messages reçus des sens, obligerait à modifier

Données Objectives ?

InternetActu.net » Données malignes… : A méditer ! :-) "Plus une donnée est considérée comme susceptible d’être exploitée, moins il est possible de lui accorder confiance…" Daniel Kaplan

Manifeste pour la tolérance

Quelques passages choisis comme repérages en faveur de la tolérance : « Pour être capable de respecter la réalité que les autres inventent pour eux-mêmes, nous devons d’abord comprendre que nous ne savons rien tant que nous ne savons pas que nous ne connaîtrons jamais la vérité absolue. Et c’est seulement si les autres deviennent intolérants à l’égard de notre propre réalité, que nous pouvons alors – citons ici…Karl Popper- « au nom de la tolérance, revendiquer le droit de ne pas tolérer l’intolérance » "Nous découvrons un monde où l’absence de fondement permet de comprendre que le très ancien idéal d’objectivité et de communication – conçu comme élimination progressive de l’erreur en vue d’une adéquation toujours plus grande – n’est, compte-tenu de ses propres principes scientifiques, qu’une chimère. Il nous faudrait maintenant accepter l’idée que personne ne peut prétendre mieux comprendre le monde que les autres. La conclusion de tout cela est bien intéressante : le monde e